
De cette longue observation, il tire une théorie révolutionnaire sur le temps qui passe et toutes ses affirmations sont étayées par la logique implacable des ses jeux de mots.
Il y a du Raymond Devos dans cette étourdissante gymnastique, dans ce travail d’écriture subtil et remarquable.
Un exercice de style brillant, attendrissant, jubilatoire et profond.
La mise en scène est signée François Bourcier, interprète des « Lettres de délation » programmées dans l’édition 2006.