Une nuit d’orage, un homme que sa femme a quitté, attend. De cette inactivité naît une réflexion sur le temps qui passe ? C’est une activité de chaque instant, exclusive car, dès qu’on se divertit, on ne voit plus le temps passer…
De cette longue observation, il tire une théorie révolutionnaire sur le temps qui passe et toutes ses affirmations sont étayées par la logique implacable des ses jeux de mots.
Il y a du Raymond Devos dans cette étourdissante gymnastique, dans ce travail d’écriture subtil et remarquable.
Un exercice de style brillant, attendrissant, jubilatoire et profond.
La mise en scène est signée François Bourcier, interprète des « Lettres de délation » programmées dans l’édition 2006.
2 commentaires:
J'ai vraiment adoré ce spectacle. Au début je n'avais pas tellement envie d'y aller mais finalement, je crois que j'ai bien fait. Les jeux de mots y sont pour quelque chose je crois. J'adore quand il y a de l'humour dans un spectacle. Je pense que je ne suis pas la seule à avoir bien rit.
Correction du commentaire : "J'ai vraiment adoré ce spectacle. Au début je n'avais pas tellement envie d'y aller mais finalement, je crois que j'ai bien fait. Les jeux de mots y sont pour quelque chose, je crois. J'adore quand il y a de l'humour dans un spectacle. Je pense que je ne suis pas la seule A m'être amusé.
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